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mardi 14 août 2012

JO de Londres : la médaille d'or du gaspillage décrochée par M. HUCHON!


Communiqué de
Pierre-Yves Bournazel, Geoffroy Didier et Géraldine Poirault-Gauvin
Secrétaires nationaux de l'UMP et Conseillers régionaux d'Ile-de-France


"JO de Londres : la médaille d’or du gaspillage décrochée par M. Huchon !"

Il s’est sans doute dit que cela passerait inaperçu au beau milieu de l’été, quand les Franciliens sont en vacances. Le Président de la région Ile-de-France est décidément incorrigible !

Dernier épisode dans la saga des gaspillages de l’exécutif régional révélé ce matin par le Canard Enchaîné, un dîner offert par M. Huchon aux Jeux Olympiques de Londres à quelques élus régionaux pour un coût de 17 000 euros ! Une addition salée, réglée par la collectivité locale et le Comité Régional du Tourisme, aux frais, bien sûr, du contribuable.

Si ces faits sont confirmés, nous souhaitons entendre les explications du Président de l’exécutif régional sur ces dépenses inconsidérées, choquantes et qui représentent des pratiques politiques d’un autre âge.

Après le « Palais Huchon » acheté 20 millions d’euros pour y loger les bureaux de ses Vice-Présidents, la plage privée réservée pendant le festival de Cannes, ces agapes londoniennes sont la goutte d’eau !

Rappelons que M. Huchon a été condamné définitivement par la Cour d’appel de Paris pour prise illégale d’intérêt, en 2008, pour avoir favorisé l’obtention de marchés publics de la région par une société de communication dans laquelle travaillait son épouse. Par ailleurs, il a été de nouveau condamné, cette fois par le Conseil d’Etat, pour avoir utilisé les moyens de la région d’Ile-de-France afin de financer sa campagne électorale lors des élections régionales de 2010. A ce titre, il a été condamné à rembourser à l’Etat les frais engagés pour le financement de sa campagne électorale, soit 1,6 million d’euros.

Pour se mettre en conformité avec les principes de moralisation de la vie politique édictés par François Hollande lors de la campagne présidentielle, plus que jamais, M. HUCHON devrait se rendre à l’évidence : la seule issue, c’est la démission !

mardi 6 mars 2012

L'UMP francilienne dénonce le "grand cafouillage" des transports en commun

PARIS, 6 mars 2012 (AFP) - L'UMP francilienne, dans l'opposition, a dénoncé mardi le "grand cafouillage" des transports en commun en Ile-de-France, après les multiples incidents la veille qui ont touché des dizaines de milliers de voyageurs.

Un malaise de voyageur dans un train a provoqué de graves perturbations sur les lignes RER B et D dans Paris - parmi les plus empruntées du pays - tandis qu'un incendie à proximité des voies a coupé le réseau Transilien dans le Val d'Oise.

Parlant du "grand cafouillage dans les transports", le porte-parole du groupe UMP au conseil régional d'Ile-de-France, François Durovray, a dénoncé "l'inertie coupable" du Stif, l'autorité organisatrice des transports, présidée par le président de la Région, le socialiste Jean-Paul Huchon.

"La situation d'apocalypse vécue hier soir par des milliers d'usagers (...) démontre une nouvelle fois l'incapacité du Stif et de son président, à assurer sa mission", écrit M. Durovray dans un communiqué.

L'UMP régionale demande au Stif d'accélérer le projet de doublement du tunnel Châtelet-Gare du Nord (les études de faisabilité de ce doublement ont été lancées en décembre, ndlr) et "d'améliorer substantiellement l'information afin que les usagers ne se sentent pas pris au piège, au risque de se mettre eux-mêmes en danger en descendant sur les voies", obligeant à couper le courant sur les voies.

Quant à l'incident de caténaire sur le Transilien, il "démontre une fois encore l'état de vétusté du réseau".

De son côté, Roger Karoutchi (UMP), président de la commission des finances du conseil régional, a déploré "le scandale des transports publics", estimant d'ailleurs qu'il "n'y a plus, en réalité, aujourd'hui, de service public des transports" en IDF.

"Je dénonce depuis des années les errements dans la gestion des lignes alors que chacun se renvoie la faute (SNCF, RATP, RFF, Stif) sans accepter de se remettre en cause", écrit-il dans un communiqué.

Il demande que la région, principal financier du réseau, "exige le rétablissement d'un service public digne de ce nom" et que "les dirigeants des entreprises publiques soient auditionnés par les commission des finances et des transports".

jeudi 16 février 2012

Des élus UMP appellent Huchon (PS) à renoncer à l'achat d'un hôtel particulier

Des élus UMP appellent Huchon (PS) à renoncer à l'achat d'un hôtel particulier

PARIS, 15 février 2012 (AFP) - Trois élus UMP du conseil régional d'IDF ont vivement demandé mercredi au président PS de la collectivité Jean-Paul Huchon de "renoncer à son projet ubuesque" d'acheter, en période de crise, pour près de 20 millions d'euros un ancien hôtel particulier de la préfecture, dans le VIIème.
 Mi-décembre le Conseil régional d'Ile-de-France avait adopté un amendement de l'exécutif provisionnant des crédits pour acquérir un ancien hôtel particulier de la préfecture de région dont il partageait les locaux.
Lors d'une intervention mercredi devant les grilles de l'hôtel, situé 29 rue Barbet de Jouy dans le très chic VIIème arrondissement parisien, Pierre-Yves Bournazel, Geoffroy Didier et Géraldine Poirault-Gauvin ont rappelé que la région veut à présent faire voter jeudi l'acquisition "de ce superbe hôtel particulier".
"Cet hôtel particulier est prévu pour installer des élus régionaux. Autant vous dire que les vice-présidents de la Région, qui bénéficient déjà tous de voitures de fonction avec chauffeurs et d'un véritable cabinet autour de chacun d'eux, vont se sentir bien au large, très confortables dans leur nouveau domaine", ont déploré les trois élus dans un texte commun.
De son côté, interrogée par la presse, Valérie Pécresse, chef de file de l'oposition UMP à la région, a ajouté: "alors même que tous les ministères déménagent et que l'Etat (...) va vendre 5 hôtels particuliers dans le VIIe, c'est le moment où la région devrait vendre, pour aller dans un endroit pas cher".
Selon la ministre, la Région "devrait s'installer à Aubervilliers".
Parlant d'un "véritable +palais Huchon+", les trois élus UMP ont estimé que la "somme de 20 millions d'euros aurait été plus utile si elle avait été consacrée à l'hébergement de sans-abri ou à la rénovation de lignes de RER, plutôt qu'à loger plus luxueusement encore une poignée d'élus".
Contactée par l'AFP, Michèle Sabban, vice-présidente PS chargée du personnel et de l'administration générale à la Région, a estimé qu'"on ne peut pas reprocher à la région de se constituer un patrimoine immobilier qui appartient à tout le monde".
"C'est Mme Pécresse qui a fixé le prix, elle est ministre du Budget", a ironisé la responsable PS en rappelant que des élus UMP de la commission des finances "n'ont pas voté contre".
"Pour aller à Aubervilliers il faut l'accord des 8 départements d'Ile-de-France, justement ce sont les Hauts-de-Seine et les Yvelines (où est élue Mme Pécresse) qui font le blocage!", a-t-elle ajouté.
phi/jlp/jmg

COLLECTIVITÉS-IDF-BUDGET-
IMMOBILIER-GOUVERNEMENT - 15/02/2012 16h17 - AFP

jeudi 15 décembre 2011

Dépêche AFP sur le logement social en Ile-de-France : l'UMP déplore le manque pour les classes moyennes

L'IDF se recentre sur le logement social, l'UMP déplore le manque pour les classes moyennes

PARIS, 15 décembre 2011 (AFP) - Le Conseil régional d'Ile-de-France va se recentrer en 2012 sur la création de logements sociaux, une décision contestée par l'opposition UMP qui déplore le manque de soutien au logement intermédiaire à destination des classes moyennes.


La discussion budgétaire sur ce secteur, achevée dans la nuit de mercredi à jeudi, a été marquée par l'adoption d'un des principaux amendements communs à la majorité régionale (PS, EELV, FDG, MRC, FDG et Alternatifs, PRG-MUP) avec l'Ares (centre) et l'abstention de l'UMP : un soutien au programme de développement des logements sociaux (PLAI et PLUS) avec 15 millions d'euros d'autorisations de paiement et 10 millions de crédits de paiement.

"Les logements PLAI, très sociaux, et PLUS, sociaux, concernent 64% des Franciliens qui y sont éligibles et il y a 400.000 demandeurs de logements sociaux", a expliqué à l'AFP Emmanuelle Cosse (EELV), vice-présidente en charge du logement.

"Les logements intermédiaires dits PLS concernent 10% des Franciliens. Ce débat avec l'opposition sur le logement intermédiaire, on l'a souvent et on l'assume. On a des priorités fortes et ce n'est pas à la région de répondre à tous les besoins", a poursuivi Mme Cosse, soulignant "la baisse des aides à la pierre de l'Etat sur les PLUS".

"J'étais personnellement plutôt pour la suppression des aides au logement intermédiaire mais finalement les aides sont conservées dans les communes qui ont plus de 40% de logements sociaux pour permettre une mixité sociale", a-t-elle ajouté.

Pour l'opposition, "les crédits pour les PLS sont insuffisants, c'est toute la question des classes moyennes dont il faut tenir compte, surtout à Paris", a déclaré Géraldine Poirault-Gauvin (UMP), également conseillère de Paris.

L'amendement déposé en ce sens par l'opposition et rejeté a donné lieu à un échauffement des esprits : "le ton est monté", a raconté Mme Poirault-Gauvin, soulignant que "des jeunes conseillers ont l'intention de ne pas laisser M. Huchon agir sans opposition ni critiquer sans cesse le gouvernement sans réagir".


Au total, le logement, premier budget en investissement hors compétences obligatoires de la région, se voit doté pour 2012 de 215,2 M EUR d'autorisations de paiement et 180,2 M EUR de crédits de paiement. Toutefois, des logements sont aussi compris dans d'autres chapitres budgétaires comme l'hébergement d'urgence, les appartements pour femmes battues ou encore les logements pour chercheurs.
sla/sm/jmg

vendredi 18 novembre 2011

L’irresponsabilité et la folie dépensière de la majorité de la région Ile-de-France

Lors de sa séance plénière de ce matin, le Conseil régional d’Ile-de-France a décidé, malgré l’opposition du groupe Majorité Présidentielle, d’adopter une délibération lui permettant de recourir à l’épargne des Franciliens.

Conséquence directe : la charge de la dette supportée par les Franciliens va s’alourdir puisque ces emprunts se négocient autour de 1% plus cher que les emprunts classiques.

A raison de 820 millions d’emprunt prévu pour l’année 2012, c’est au moins 8 millions d’euros par an que la Région aura à dépenser en plus pour faire face à ces engagements, soit le prix d’une rame de RER.

Cette situation préjudiciable pour les Franciliens est la conséquence directe de l’emballement budgétaire que connaît depuis plusieurs années la Région gérée par la majorité de gauche.

Malgré des ressources en hausse de près 5 % en 2012 – progression inédite en temps de crise – grâce à l’Etat, la région va emprunter l’an prochain 11 fois plus qu’en 2002.

Les élus du groupe Majorité Présidentielle dénoncent à nouveau la folle gestion budgétaire de la majorité PS-Verts-PC qui a conduit l’agence S&P à placer la Région Ile-de-France sous perspective négative et qui hypothèque l’avenir des Franciliens.

mercredi 8 décembre 2010

Le Syndicat des Transports d'Ile-de-France (STIF) présidé par M. HUCHON mène les usagers et les élus en bateau!


Investissement en baisse de 15 % et tarifs en hausse de 2,7%.

Alors que chaque jour, plus d’un million de voyageurs empruntent, dans des conditions insupportables, les RER C et D et que la SNCF et RFF (Réseau Ferré de France) sont prêts à engager la rénovation de ces deux lignes, le STIF bloque toujours.

Pour dénoncer l’immobilisme du syndicat des transports d’Ile-de-France (STIF), le manque de concertation et d’information des élus ainsi que l’absence d’investissements, une manifestation, à l’initiative de Valérie Pécresse, Chantal Jouanno et des élus du groupe Majorité présidentielle, a été organisée ce matin devant le STIF.

Plus d’une centaine de personnes dont de nombreux élus franciliens, parmi lesquels les représentants des deux associations « Les élus du RER C » et « Les élus de la ligne D du RER », étaient présents à cette manifestation pour rappeler l’urgence de la situation.

Une délégation a été reçue par Jean-Vincent Placé. Pour le vice-président du STIF, répondre aux besoins et attentes des usagers à court terme c’est, au mieux, proposer un début de solution dans un délai de sept à huit ans, soit pas avant 2018 !

Cette réponse est d’autant plus inacceptable que les élus ne cessent depuis 2003 de réclamer la rénovation urgente de ces lignes et que le STIF vient de voter un budget 2011 incompréhensible avec des investissements en baisse de 73 millions d'euros (soit – 15% par rapport à 2010).

Parallèlement à cette décision et contre l'avis du groupe Majorité présidentielle, le STIF a adopté son budget 2011 en intégrant une augmentation de 2,7% en moyenne des tarifs qui entrera en vigueur le 1er juillet prochain. Il en sera de même pour la carte Imagine'R pour les jeunes sur l’année scolaire 2011-2012.

Les élus du groupe Majorité présidentielle déplorent la politique menée par le syndicat qui au lieu d'investir au profit de l'amélioration de l'offre et de la qualité de service aux usagers, préfère augmenter de 17% (2,6 millions d'euros) en 2011 les dépenses de personnel.

Photo avec Chantal Jouanno, Ministre des Sports et Laurent Racapé, Délégué de la 12ème circonscription, devant le siège du STIF ce 8 décembre 2010.

jeudi 18 mars 2010

L'alliance Huchon-Duflot-Laurent ou la grande arnaque !


Après deux jours de négociation à huis clos, M. Huchon, Mme Duflot et M.Laurent seraient arrivés à un accord pour fusionner leurs listes et serépartir les places.
Sur le plan des idées, le seul qui intéresse les Franciliens, la confusion reste pourtant totale : pour les sortants, le projet reste manifestement de l'ordre du simple détail, qui sera rendu public le moment venu.

M. Huchon aurait ainsi donné son accord à la mise en place d'un tarif unique pour le Pass Navigo. Depuis 3 mois, le candidat sortant n'avait jamais perdu une occasion de se dire opposé à cette mesure proposée par Europe Ecologie : son coût est en effet tel qu'elle priverait la région de tout moyen pour investir massivement dans les transports. Aujourd'hui, M. Huchon semble prêt à faire volte-face : pour un 3e mandat, il accepte de sacrifier le quotidien des Franciliens, en renonçant durablement à toute amélioration de la qualité de service dans les transports en commun.

Les Franciliens en ont désormais la certitude : président ou candidat, Jean-Paul Huchon reste encore et toujours indifférent à leurs problèmes quotidiens et ne fait même plus mine de leur chercher des solutions. Au diable les idées, pourvu que l'on garde les places, tel devrait être le véritable slogan de l'alliance en forme de reniement que s'apprêtent à conclure les 3 listes de gauche.

Valérie Pécresse, quant à elle, a toujours fait preuve de la plus grande clarté : la priorité des Franciliens, c'est l'amélioration de leurs conditions de transports au quotidien.

Avec les rames hors d'âge, les réseaux vieillissants et des liaisons banlieue-banlieue sous-développées qui sont les nôtres en Île-de-France, l'heure n'est pas au dumping tarifaire, mais à l'investissement massif. C'est la seule attitude responsable : Jean-Paul Huchon vient d'y renoncer par pure ambition personnelle. Les Franciliens en tireront toutes les conséquences.

Rama Yade et Frédéric Valletoux
Les Porte-parole de la campagne de Valérie Pécresse

vendredi 5 mars 2010

Le ticket CHOC!

Le Président du Syndicat des Transports d'Ile-de-France pris en FLAG'

Ce matin, Jean-Paul Huchon, interrogé par France Info, a été pris en flagrant délit d’ignorance : alors qu’il préside depuis 12 ans la région, le président sortant ne connaît toujours pas le prix du ticket de métro, pas plus que celui d’un carnet de tickets. C'est une preuve supplémentaire de sa totale indifférence à la vie quotidienne des Franciliens et sa méconnaissance de ses propres responsabilités.

Les 14 et 21 mars, il est grand temps de changer de majorité en Ile-de-France : no stress, votez PECRESSE!

lundi 22 février 2010

Galère des transports : Huchon cherche coupable désespérément

Je vous laisse découvrir le communiqué de Rama Yade et Frédéric Vallatoux, les porte-parole de la campagne de Valérie Pécresse.
11 ans et 11 mois après son élection à la présidence de la région Île-de-France, Jean-Paul Huchon commence enfin à ouvrir les yeux sur le quotidien des Franciliens.
Il lui reste encore un effort à faire : assumer toute sa responsabilité dans cet échec. Car le candidat sortant continue encore à prétendre, contre toute vraisemblance, n’être responsable des transports que depuis 3 ans.
Rama Yade et Frédéric Valletoux lui rappellent néanmoins qu’il s’est fait élire en 2004 sur une promesse : « des transports zéro défaut », que la région est membre du STIF depuis 2000 et qu’elle est compétente en matière de transports depuis 1982.
C’est pourquoi Rama Yade et Frédéric Valletoux s’abstiendront de commenter l’affirmation absurde selon laquelle la région aurait investi plus en 3 ans que l’Etat en 30 ans. Les faits parlent d’eux-mêmes. M. Huchon, qui a désormais commencé à ouvrir les yeux, ne devrait pas tarder à s’en apercevoir.
Jean-Paul Huchon n’a pas profité de cette soi-disant « opération vérité » pour rompre avec la stratégie de la défausse. Lorsqu’il s’agit de trouver de nouveaux coupables, le candidat sortant n’est jamais en retard : l’Etat, la RATP, la SNCF, la législation en vigueur, les élus locaux avec qui il faut s’entendre, tous sont responsables, sauf le Président de la région. Il est temps que Jean-Paul huchon cesse de chercher désespérément des coupables à la galère quotidienne des Franciliens.
La vérité a éclaté au grand jour : ce que M. Huchon n'a pas fait en deux mandats, il ne parviendra pas à le faire en trois.

vendredi 12 février 2010

La Campagne de M. HUCHON... payée par nos impôts


Tôt ce matin, bon pied bon oeil, je me suis rendue en métro à la gare Montparnasse en partant de la station Vaugirard. J'avais rendez-vous avec plusieurs militants de ma circonscription pour tracter le programme de Valérie Pécresse et de Chantal Jouanno.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir distribuer à l'entrée de la bouche de métro le journal du Conseil régional, dénommé "Ile-de-France". Franchement, alors que je prends presque tous les jours le métro, c'est la première fois que cette brochure, vantant l'action de la région, m'est donnée dans le métro! J'ai même pu contater quelques stations plus loin que d'autres voyageurs entrant dans la rame le tenaient à la main.

Comme c'est surprenant. La "Une" n'est pas équivoque : Ile-de-France : "Au coeur de la vie quotidienne" avec une illustration réunissant tous les enjeux des élections régionales (transports, développement durable, santé, logement, la Seine...etc...) bref encore une campagne de communication profitant à l'équipe sortante, payée par le contribuable régional.

Voulant en savoir plus, je me suis fendue d'un coup de fil au Conseil régional pour demander qui payait le jeune homme qui m'avait donné la brochure ce matin devant ma bouche de métro. La question gêne... on me passe le rédacteur en chef de la feuille de chou tirée à 4 328 000 exemplaires... qui m'annonce que c'est la société Globe diffusion qui est chargée de la diffuser. Signalant mon mécontentement de voir la campagne de M. Huchon payée par mes -NOS- impôts, j'ai bien senti l'agacement de mon interlocuteur!!!

Ces méthodes sont proprement scandaleuses. Il est anormal que les candidats utilisent des moyens donnés par la région pour faire campagne. Après Mme Hidalgo qui utilise le site de la Ville Paris.fr pour annoncer une mesure de son programme, c'est au tour de M. Huchon de mener une campagne "Hors-la-loi"!!!
Et si on changeait d'équipe les 14 et 21 mars prochain?

mercredi 3 février 2010

HUCHON : le mandat de trop!


En débat contre Guillaume Balas, n°2 sur la liste parisienne PS, mon collègue et ami Pierre-Yves Bournazel, n°6 sur la liste conduite par Chantal Jouanno, a avancé hier un argument de poids : pourquoi les Présidents de région ne seraient-ils pas frappés par une limitation du nombre de leurs mandats?
12 ans à la tête de la région, cela suffit! Que fera Jean-Paul Huchon au cours de son 3ème mandat qu'il n'a déjà initié auparavant? Un troisième mandat, c'est celui de l'essoufflement, c'est le mandat de trop.
Comme c'est le cas pour le mandat du Président de la République, Pierre-Yves Bournazel propose que les présidents de région ne puissent effectuer plus de deux mandats.Qu'en pensez-vous?